Mardi 11 janvier 2022, dans le cadre de mes activités de président de l’association « Crim’HALT » (Crim’HALT comme « alternative »), je participais aux Rencontres de l’habitat solidaire sous la forme d’une visioconférence. Cette dernière, organisée par « Solidarités Nouvelles pour le Logement », avait pour thème : « Bien mal acquis, logements indignes, marchands de sommeil… Comment redonner à ces logements une vocation sociale ? ».
SNL, foncière de logement très social, a activement participé à l’avènement de la loi et sera un acteur de l’affectation sociale des biens confisqués par la justice française en réutilisant des biens confisqués aux marchands de sommeil.
Pour cette intervention, il m’était demandé de revenir sur 12 ans de plaidoyer de l’association qui a permis le vote d’une loi d’usage social des biens confisqués en France et de présenter le modèle législatif italien.
Je n’ai pas manqué, certes rapidement (minute 24), de présenter le projet européen de recherche COESO (Collaborative Engagement on Societal Issues) comme un exemple d’étude promouvant la recherche participative en sciences sociales et humaines.
Je suis revenu sur notre premier terrain de recherche à Gênes ou des biens confisqués sont affectés à du logement très social : L’épreuve du terrain 4/4 : Gênes, deuxième voyage et autre réalité
Pour regarder la conférence, cliquez sur le lien suivant : Fabrice Rizzoli – Biens mal-acquis : comment leur redonner une utilité sociale?
OpenEdition vous propose de citer ce billet de la manière suivante :
Fabrice Rizzoli (11 janvier 2022). Le chercheur devant les futurs acteurs de l’USBC en France. Usage social des biens confisqués à la mafia. Consulté le 28 avril 2025 à l’adresse https://doi.org/10.58079/v4zy